La Pompe Vieille
En 1819, une pompe est établie au puits public dit de Laure. Elle sera baptisée ultérieurement « pompe vieille » et coûta 490 F. L’approvisionnement en eau potable était évidement au centre des préoccupations des Montbazinois.
Vue ci-dessus de l’avenue de Cournonteral et de la place de la Pompe Vieille vers 1910. La maison Valesque sur la gauche a été reconstruite. La pompe vieille est visible à droite derrière les enfants assis.
La maison à l’angle de la route de Villeveyrac fut démolie et reconstruite en 1910. En effet, à cette époque les crues de la Vène étaient fréquentes et elle fut donc surélevée pour éviter les inondations. Le soubassement en pierre froide de la carrière du mas de Thérèse fut l’œuvre d’Eugène Broussou.
Ce quartier fut habité jusqu’au XIXe siècle par la bourgeoisie. S’y trouvaient d’immenses maisons qui furent plus tard partagées en de nombreux appartements pour une population d’employés, d’ouvriers et petits propriétaires. Deux hôtels étaient à l’entrée du village, un troisième se trouvait sur la route de Montpellier.
Sur la photo ci-dessus prise depuis la maison Gautier, on reconnaît André Gautier, à gauche et son père Achille, devant la Pompe Vieille. A l’arrière plan, le lit de la Vène et sur la droite le pont et la porte du village.
Autres éléments du patrimoine bâti et naturel du village de Montbazin